24 janvier 2012
Rue Berthier du Palier
- Mais qu’en dira ta parentèle ?
- C’est vrai, les morts sont encombrants, et parfois plus bavards qu’on ne le pense. Mais tu me connais assez, je sais vivre, tout de même ! Sois sans inquiétude, je leur garde la meilleure place. Désormais, mon laraire n’est plus dans le tiroir de cette commode sauteuse, où il se trouvait d’ailleurs fort mal, serré entre mes gants et mes écharpes, mais au plus profond de mon cœur.
- Bon, alors tout est bien. As-tu arrêté tes choix ? Souhaites-tu mon aide ?
(à suivre)
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